CRITIQUES ET COMMENTAIRES
En premier les "commentaires de mes lecteurs" et plus bas ceux de la presse
Les commentaires de mes lecteurs sur le roman
Marie Bonnefois - la colère de Dieu
Commentaire de Pietra Liuzzo, Auteur,
L’auteur nous ramène en 1720, plus particulièrement à Marseille, alors ravagée par la peste.
Marie Bonnefois, une jeune fille de seize ans va connaître pendant cette période dévastatrice, l’amour mais aussi la déchéance des êtres qu’elle affectionne le plus.
Marie Liehn a su transcrire par sa belle écriture un tableau de personnages dignes de la Provence. Mêlant intrigues et événements historiques, elle nous transporte dans une époque certes révolue mais, jamais oubliée.
Un roman à lire absolument.
L’auteur nous ramène en 1720, plus particulièrement à Marseille, alors ravagée par la peste.
Marie Bonnefois, une jeune fille de seize ans va connaître pendant cette période dévastatrice, l’amour mais aussi la déchéance des êtres qu’elle affectionne le plus.
Marie Liehn a su transcrire par sa belle écriture un tableau de personnages dignes de la Provence. Mêlant intrigues et événements historiques, elle nous transporte dans une époque certes révolue mais, jamais oubliée.
Un roman à lire absolument.
Commentaire de Marlène Manuel, Auteur,
D'abord, il faut préciser que cette histoire se déroule à Marseille aux alentours de 1720, et j'ai été absolument épatée par l'énorme travail de reconstitution historique que tu as réalisé, Marie.
Tout y est raconté avec minutie et précision et un sens du détail qui fait que l'on plonge sans aucune difficulté dans l'époque. Les différences entre les classes sociales, la vie quotidienne des petites gens, la justice entre les mains des puissants, les moeurs et coutûmes de ce temps-là, on retrouve absolument tout. Certaines scènes m'ont semblé particulièrement réalistes, notamment les scènes au lavoir, que j'ai beaucoup aimées, et puis, bien sûr, l'apparition de la peste et la psychose qui gagne la ville.
Ça commence comme un roman policier, ça se poursuit comme un roman réaliste à la Zola.
Bien sûr, il s'agit d'une histoire d'amour, mais elle est complètement immergée dans le quotidien et dans une période dramatique de la vie de Marseille.
Il me reste à connaître le fin mot des rapts d'enfants et à savoir si François va revenir, car je me suis refusée à lire la dernière page avant le reste, bien évidemment, pour prolonger le suspens jusqu'à la fin !
C'est un livre qui se lit très agréablement, car les personnages sont attachants. Mais je crois que ce qui m'a le plus séduite, c'est l'ambiance que tu as su recréer. Pour moi, c'est l'un des atouts majeurs de ce roman. Alors, vite le suivant !
Commentaire de Marlène Manuel, Auteur, quelques jours après
J'ai terminé hier soir les quelques pages de "La colère de Dieu" qu'il me restait à parcourir. Je ne change rien à ce que j'ai dit précédemment sur l'atmosphère très bien restituée, mais j'irai un peu plus loin.
Après avoir refermé le roman, je pense que l'immersion dans l'époque touche aussi le caractère des personnages, et surtout celui de l'héroïne, Marie. Elle vit des choses très difficiles tout au long de cette histoire et on se rend bien compte qu'à aucun moment, elle ne se donne le droit de craquer ou de pleurnicher sur son sort. Cela correspond bien à ce qui se passait réellement à ces époques (pas si lointaines) où les gens n'avaient qu'une préoccupation : survivre à tout prix. Les lamentations et les pleurs n'avaient pas cours, c'est un certain fatalisme qui présidait à tous les évènements de la vie, qu'ils soient heureux ou malheureux, d'ailleurs. Et, cela, Marie, on le ressent très bien.
D'abord, il faut préciser que cette histoire se déroule à Marseille aux alentours de 1720, et j'ai été absolument épatée par l'énorme travail de reconstitution historique que tu as réalisé, Marie.
Tout y est raconté avec minutie et précision et un sens du détail qui fait que l'on plonge sans aucune difficulté dans l'époque. Les différences entre les classes sociales, la vie quotidienne des petites gens, la justice entre les mains des puissants, les moeurs et coutûmes de ce temps-là, on retrouve absolument tout. Certaines scènes m'ont semblé particulièrement réalistes, notamment les scènes au lavoir, que j'ai beaucoup aimées, et puis, bien sûr, l'apparition de la peste et la psychose qui gagne la ville.
Ça commence comme un roman policier, ça se poursuit comme un roman réaliste à la Zola.
Bien sûr, il s'agit d'une histoire d'amour, mais elle est complètement immergée dans le quotidien et dans une période dramatique de la vie de Marseille.
Il me reste à connaître le fin mot des rapts d'enfants et à savoir si François va revenir, car je me suis refusée à lire la dernière page avant le reste, bien évidemment, pour prolonger le suspens jusqu'à la fin !
C'est un livre qui se lit très agréablement, car les personnages sont attachants. Mais je crois que ce qui m'a le plus séduite, c'est l'ambiance que tu as su recréer. Pour moi, c'est l'un des atouts majeurs de ce roman. Alors, vite le suivant !
Commentaire de Marlène Manuel, Auteur, quelques jours après
J'ai terminé hier soir les quelques pages de "La colère de Dieu" qu'il me restait à parcourir. Je ne change rien à ce que j'ai dit précédemment sur l'atmosphère très bien restituée, mais j'irai un peu plus loin.
Après avoir refermé le roman, je pense que l'immersion dans l'époque touche aussi le caractère des personnages, et surtout celui de l'héroïne, Marie. Elle vit des choses très difficiles tout au long de cette histoire et on se rend bien compte qu'à aucun moment, elle ne se donne le droit de craquer ou de pleurnicher sur son sort. Cela correspond bien à ce qui se passait réellement à ces époques (pas si lointaines) où les gens n'avaient qu'une préoccupation : survivre à tout prix. Les lamentations et les pleurs n'avaient pas cours, c'est un certain fatalisme qui présidait à tous les évènements de la vie, qu'ils soient heureux ou malheureux, d'ailleurs. Et, cela, Marie, on le ressent très bien.
Commentaire de Marie Chevalier, Auteur,
Ton roman, qui au départ, part sereinement comme une petite histoire gentille, prend de l'amplitude et grossit jusqu'à devenir un " Hugo ": tes descriptions sobres, ta façon de mener ton histoire m'ont surprise. Non pas que je ne te pensais pas capable, loin de là !! mais je ne m'attendais pas une histoire si bien enchainée, si bien construite et si méticuleuse des détails.
Bravo Marie L, franchement bravo. Ce n'est pas une petite historiette d'amour, loin s'en faut, c'est la misère, la faim, la maladie, la peur que tu décris avec beaucoup de précision.
L'histoire d'amour est là pour expliquer tout le reste, c'est ainsi que je l'ai ressenti.
Ton roman, qui au départ, part sereinement comme une petite histoire gentille, prend de l'amplitude et grossit jusqu'à devenir un " Hugo ": tes descriptions sobres, ta façon de mener ton histoire m'ont surprise. Non pas que je ne te pensais pas capable, loin de là !! mais je ne m'attendais pas une histoire si bien enchainée, si bien construite et si méticuleuse des détails.
Bravo Marie L, franchement bravo. Ce n'est pas une petite historiette d'amour, loin s'en faut, c'est la misère, la faim, la maladie, la peur que tu décris avec beaucoup de précision.
L'histoire d'amour est là pour expliquer tout le reste, c'est ainsi que je l'ai ressenti.
Commentaire de Marie-Claude Marty, Auteur
Ce livre nous replonge dans le Marseille des années 1700, dans une époque qu'on oublie facilement de nos jours et il y a, dans ce livre, un tel sens du descriptif qu'on s'y croirait. Il y a eu,
de ta part, un sacré travail de recherches sur cette noire période de l'épidémie de peste, sur la condition humaine de ses habitants, le tout, doublé d'une formidable histoire d'amour qui nous
tient en haleine pratiquement tout au long du récit, nous demandant si Marie reverra François... ?
Marlène Manuel et Marie Chevalier se sont déjà exprimées sur ton roman et elles ont su dire ce que j'ai ressenti au fil des pages.
Bravo Marie L ..... j'ai hâte de te relire, maintenant.
Ce livre nous replonge dans le Marseille des années 1700, dans une époque qu'on oublie facilement de nos jours et il y a, dans ce livre, un tel sens du descriptif qu'on s'y croirait. Il y a eu,
de ta part, un sacré travail de recherches sur cette noire période de l'épidémie de peste, sur la condition humaine de ses habitants, le tout, doublé d'une formidable histoire d'amour qui nous
tient en haleine pratiquement tout au long du récit, nous demandant si Marie reverra François... ?
Marlène Manuel et Marie Chevalier se sont déjà exprimées sur ton roman et elles ont su dire ce que j'ai ressenti au fil des pages.
Bravo Marie L ..... j'ai hâte de te relire, maintenant.
À présent la presse sur le roman
Et phocée créa Marseille - Sîmos le Camus
Autrefois édité par l'Harmattan sous le nom de "Sîmos le Camus
À présent, édité par La Lampe de Chevet
